L'église

Depuis l’atterrissage effectué au bas de la petite falaise du restaurant, la pression ne cessait de croître dans le crâne du commodore. En plus des mauvaises impressions qu’il ne cessait de se balader dans sa tête, les images montrant les cadavres des gens qu’il avait tuer ne cessaient de passer et repasser devant lui. C’était un véritable supplice. Le désir d’arriver aux plus vite dans le bâtiment sacré affin de se repentir de tout ce mal qu’il avait causé. Sa démarche rapide ne cachait pas vraiment sa frustration intérieur. Pour son visage, l’indice était encore plus flagrant. Ses yeux étaient grand ouvert avec un mélange d’indécision et de colère. Devant lui, les gens se tassaient prestement en se demandant ce qui lui prenait. De la manière qu’était placé l’homme quelque peu pressé, il était difficile de le reconnaître. Ce n’est qu’après un nombre considérable de coins de rue passé que l’adolescent eut enfin le bâtiment en vue. Il est donc facile à se douter qu’il doubla sa vitesse de marche qui, maintenant, ressemblait plus à de a course.

Arrivé devant les immenses portes, doucement, le jeune homme observa à l’intérieur pour être sûr qu’il ne dérangerait personne. À son grand étonnement, personne n’était à l’intérieur. C’était plutôt inhabituel puisque c’était la plus importante des églises de la grande ville de Ranneitor. Toute fois, Nekedo ne fut que ravit de cette chance unique qui s’offrait à lui. Puisque tout était libre, il allait donc profiter un maximum du temps qui lui serait accordé pour prier et s’amender de ses nombreux pêchers. Le commodore se mit donc à avancer entre les nombreux banc d’église pour se diriger directement devant une croix géante. Se mettant à genoux devant celle-ci, il joignit ses deux mains pour se mettre en position de prière puis il déposa son front sur ses pouces.

- Veuillez pardonner, vous dieux de ce monde et pères de nous, faibles humains que nous sommes, un homme qui a pêcher à plusieurs reprises. Onze humains sont morts près de mon corps et mon esprit. Quatre d’entre eux ont trépassé par mes mains. Mes mains qui sont maintenant souiller par la culpabilité de n’avoir agit sans préavis. Je vous demande donc une chose… Moi, étant un humble serviteur de votre grandeur, je laisse ma vie entre vos mains… Par n’importe quel moyen, je vous pris de me faire signe si je mérite de vivre où de mourir.

Un silence lourd se posa sur la grande salle vide sans compter le commodore. Bien que c’était loin d’être rassurant pour quelqu’un de normal, une brise glacial parcoura l’église d’un bord à l’autre. Ce qui était étrange de ce souffle soudain, c’était qu’aucune issue n’aurait pu la laisser entrer. Elle était donc apparut de nul part. Toute fois, même après ses paroles envoyé vers les dieux, Nekedo resta à genoux, les yeux clos et les mains maintenant déposé sur ses cuisses.

PS : Suite plus tard, je suis trop fatigué pour le moment …

PS : Bonne lecture ^^

· Jamais je n’aurais pu imaginer que je serai un jour dans cet état… Que se passe-t-il ? Qui suis-je réellement ? Suis-je un homme bon ou simplement un être mesquin et avide de pouvoir ? Suis-je dans le bon endroit ? Je… Est-ce que je mérite tout ce que j’ai ? La chance que l’on m’offre, est-ce que je la prend où je la jette à chaque fois ? Tuer peut-il être une action juste lorsqu’il est question de survie où est-ce un acte d’égoïsme ?Comment avoir réponse à tout ça ? Peut-être en agissant, tout simplement ? S’il y a réellement quelque chose après la mort, je le saurez à ce moment… De toute manière, qui sur cette terre, à véritablement les réponses exacte sur ces sujet ? Personne, puisque chacun a son propre point de vue… Donc je doit donc en conclure que jusqu’à preuve du contraire, toute action est « juste » d’une certaine manière… Donc, si je dois tuer, peu importe la raison, je ne serai pas dans le tort puisque pour moi, j’en aurai besoin. Si j’ai tort par rapport aux dieux, la vie se chargera de mon cas si elle veut. C’est décider ! J’agirai selon ce qui me semble juste ! Au fait… Comment suis-je arrivé à cette conclusion ? …. *

Un petit moment passa dans un silence complet. C’était à se demander si la terre avait arrêté de tourner. Toujours à genoux, Maloco écoutait attentivement ce qui l’entourait et plus précisément, il écoutait les pulsations de son cœur. C’était hallucinant à quel point un cour pouvait battre fort. Les yeux fermer et la tête instinctivement levé face à la crois, le commodore semblait figé là et on aurait pu croire qu’il faisait parti intégrante du décor.

C’est alors qu’un petit déclic à peine perceptible se fit entendre de l’autre côté de la grande porte de l’église. Quelque chose allait se passer et cela avait un rapport avec l’adolescent. Toute fois, déjà prêt à un éventuel affront, le garçon ne broncha pas et resta à l’endroit qu’il était depuis déjà un bon moment. De faibles voix se faisaient entendre et bientôt, le lieu « sacré » allait devenir sans doute une vraie zone de conflit.

C’est dans un grand coup de pied que la porte de l’église s’ouvrit avec force. Derrière, plusieurs hommes, fortement armés, semblait attendre depuis un bon moment. Aussitôt que la porte fut moindrement entrouverte, un pistolet apparut dans l’embrasure de l’entré. L’homme qui avait ouvert brusquement la porte, pointait déjà un pistolet sur le commodore et avait continuer son élan vers sa cible. En criant l’ordre de tuer celui qui priait, un coup de feu se fit entendre et s’était l’arme de l’homme qui venait déranger le lieu saint.

- TUEZ LE COMMODORE FEY !

Sur cette entré plutôt brusque, un sourire se dessina sur les lèvres du jeune Fey. Ses yeux avaient changer brusquement en un regard de plaisir cruel. Se balançant sur le côté d’un coup sec, il évita le projectile qui passa directement à l’endroit ou sa tête avait été quelques secondes avant. Déposant sa main gauche au sol et d’une brève poussé de la jambes droite, le jeune garçon se retrouva bientôt la tête vers le bas avec pour seul contacte au sol, sa main gauche. De celle de droite, il dégaina son propre pistolet qui était à sa ceinture. Le court moment de l’enclencher pour l’armer, il était déjà retomber sur ses pieds. Il pointa l’homme qui avait tirer mais ne tira pas pour le tuer. Il voulait plutôt s’amuser un peu. Le coup partit et le pistolet adverse éclata en morceau. Les yeux écarquillé de l’homme démontrait avec brio la peur qu’il avait. C’était beau à voir aux yeux du commodore. Il y avait un total de cinq hommes qui l’opposait. Analysant chacun de ses adversaire, Maloco remarqua ceci. L’un des hommes portait une hachette et un petit couteau dans sa botte gauche, celui au pistolet, comme un autre, avait seulement un sabre plutôt de bonne qualité et les deux autres portaient une lance chacun. Tout ceci allait plutôt être un jeu d’enfant.

Celui avec le pistolet se vit dépassé par les autres mais l’un de ses hommes s’était arrêter pour voir s’il allait bien. C’était tout de même bien qu’enfin des adversaires qui ne se fiche pas totalement du sort de ses compagnons. Ceux qui se trouvèrent bientôt tout prêt de leur unique adversaire avaient plutôt l’aire enrager. Il était question d’un blondinet avec une lance, un tit roux avec une épée et un autre roux avec lui aussi une jolie petite lance. Le premier à arriver fut le rouquin avec sa petite lance d’un mètre et soixante à peu près. L’adversaire avait opter pour une offensive total en pointant directement la pointe vers Maloco. L’adolescent dégaina rapidement sa propre épée puis se tassa sur le côté pour empoigner la lance au corps de celle-ci. Il mit une pression opposé à l’arme à l’aide se da jambe gauche. L’ennemi se retrouva déséquilibré un moment. Fey en profita pour lui planter son sabre dans le ventre. Ce qui fit lâcher à l’homme son arme et une plainte sourde. Il se retrouva par la même occasion dans les aires. Le commodore lâcha le manche de son arme pour ainsi faire un échange. De sa main gauche, il avait retourner la lance pour la pointer vers le gars. Avec la droite, il prit l’arme de projectile et la planta directement dans son adversaire. Reprenant son épée de sa main gauche, il poussa la lance comme il faut tout en reculant. Tout s’était passé à une vitesse folle et pour le même prix d’un mort, l’autre rouquin se fit embrocher comme une crevette. C’était amusant à voir puisque rien n’était ordonné dans leur démarche qui ne dura qu’une fraction de seconde. Le premier sur la brochette était maintenant mort puisque sa propre arme avait toucher un point vital mais le second était seulement très amoché. Il était atteint au ventre. Toute fois, il n’allait pas survivre longtemps puisqu’il perdait son sang à une grande vitesse.

Le blondinet, quand à lui, arriva au niveau de Maloco avec une tout autre approche. Heureusement, dans cette petite troupe, les cerveaux savaient avoir un minimum de logique. L’homme avait donc opté pour une offense à distance. Il agitait son jouet de tout les sens en restant le plus loin qu’il pouvait. Ce qui était à plus de deux mètres au grand maximum. Pour ce qui était des deux autres encore à distance, ils hésitait un peu à s’avancer. L’adolescent en eut marre de cette joute avec un peureux qui devait se pisser dessus juste à l’idée de s’approcher plus.

- Bon ça suffit ! Tu ne veux pas t’approcher ? Je vais donc aller te chercher !

Levant sa main gauche, il utilisa pour la première fois l’une de ces armes divine. C’était à Mithra de jouer. Cinq petits fils d’une grosseur convenable, allèrent entourer brièvement la lance pour se diriger rapidement vers l’homme. Celui-ci n’eut pas le temps de réagir assez vite puisqu’il était complètement dépassé par cette arme qu’il n’avait jamais vu venir. Les filins allèrent entourer ses mains pour l’empêcher de fuir puis le cou fut ensuite la cible de Mithra. Cette arme était diriger à l’aide des pensé de son porteur. Prit de panique, le grand blond se mit à crier « pitié » mais il était trop tard. Il aurait fallut, pour lui, ne pas attaquer Maloco de cette manière aussi ennuyeuse et sans le moindre respect. Les fils se serrèrent d’un seul coup au niveau de la lance ce qui la brisa en plusieurs morceaux. Juste pour montrer ce qui attendait le gars qui avait oser l’attaquer. Les larmes aux yeux, la dernière choses qu’il dit fut ceci :

- PAR PITIÉ ! J’AI UNE FEMME ET DES GAMINS !!!!

Un craquement s’en suivit aux niveau du cou lorsque Maloco avait serrer le tout en projetant, par la même occasion, l’homme près de ses collègues. Un calme tomba à nouveau sur la salle. Le gémissement de l’homme transpercer dans le ventre brisa toutefois le doux silence. Durant ce temps, les fils étaient revenu dans Mithra. L’ennemi à la hache tomba dans une folie hystérique puis prit son couteau pour la lancer vers le commodore Fey. L’attrapant au vol, Maloco fit un gentil sourire innocent et la lança directement dans la tête du gars qui était toujours en train de perdre son sang dans une terrible souffrance.

- Tu es bien gentil de penser à ton cher ami ! Tu avais compris qu’il soufrait donc tu m’as donner cette petite lame pour que lui abrège ses souffrance c’est bien ça ? Tu n’avais pas le courage de le faire hein ? Allons ! Vous venez ? On a pas fini notre petite danse !

Toujours dans sa folie, l’homme à la hache fonça sur l’adolescent, la hache bien levé dans les aires. Une erreur que beaucoup faisaient lorsqu’ils perdaient leur sang froid, forcer la tête baissé vers l’opposant. Lorsqu’il arriva pour attaquer le commodore, Maloco coupa net, dans un mouvement simple et diagonal, la hachette à sa base. Prenant ensuite le bout métallique qui était maintenant dans les aires, il l’enfonça net dans la tête du pauvre adversaire. Maintenant qu’il ne restait qu’un seul des hommes, celui qui avait tenté de le tuer avec un pistolet, le jeune garçon lui fit un sourire tout en rangeant son épée.

- Bon alors ? Que comptes-tu faire maintenant que tu n’es plus que le dernier survivant de ta petite troupe ? Tu veux continuer à te battre ou simplement fuir comme un homme sans honneur ? Si tu compte fuir, je ne me déplacerai pas pour te tuer… Alors ?

L’homme regarda chacun de ces « amis » puis grogna un juron pour se précipiter vers la sortit. Il n’y avait rien de pire qu’un fuyard qui laisse ses amis derrière. Bien qu’il ait dit qu’il n’allait pas se déplacer, il n’avait rien mentionner sur le fait de ne pas le tuer. Il prit donc son pistolet et tout en visant, il cria.

- Hey ! Tu oubli quelque chose !

L’homme hésita un moment et se retourna enfin. Les yeux devenu soudain énorme avec les pupilles dilater au maximum, un bruit rauque sortit à peine de sa bouche et un coup de feu retentit. En plein dans le front. Le pistolet fumant, Maloco le serra tranquillement en soupirant. L’église était maintenant un vrai foutoir. Peu importait puisque maintenant, il se sentait nettement plus libre.

· Bon eh bien ! Je suis plutôt content de tout ça ! C’est fou comme ça soulage de se battre pour survivre ! Maintenant que je n’ai plus aucune raison de me morfondre à chaque cadavres, je vais pouvoir m’occuper de ces foutus criminels qui foutent la merde ! Je me demande encore comment je vais passer mon mois de vacance… Tout d’abord, il y a ce bal à faire ! La jolie princesse et tout ces invités ! Quel ennuis… Il n’y à rien de plus ennuyant qu’une fête de noble… Enfin bref… Si je veux ces vacances, je n’ai pas vraiment le choix… Bon… Quelqu’un va sans doute se débrouiller pour nettoyer toute cette merde…. J’ai pas le temps de toute manière ! Je doit commencer les préparatifs du bal ! *

Sortant de l’église avec aucune goutte de sang sur son habit, il était impossible de savoir qu’il s’était battu contre des gens. En sortant du bâtiment, il avait bloqué les issus pour éviter une panique général. Maloco allait donc demander à des gens de nettoyer tout ça. Il se dirigeait vers la grande demeure de la royauté.

Lary entra dans l'église se demandant se qu'un si beau batiments pouvait bien occupé. Le jeune guerrier fu deçu de voir que des banc a profusion, et une scene a l'avant. Il prit donc l'établissement comme un anphitheatre dans lequel on aurait omit de mettre un vestibule et une legère inclinaison pour permettre à tous de voir. il regarda vers le plafont qui était assé éllevé. Il laissa sa machoire tombé devant la spendeur du domaine. Il avait vu bien des batiments avant mais jamais un comme celui si. Dans sa spendeur on y voyait plein d'erreur architectural, enfin si l'on croyait, comme lary, que c'était un theatre. il se retourna pour regardé Xanokia, elle le tenait toujours par la main, et maintenant Lary avait sérré son entrainte à son tour.

Xanokia était émerveillée par la beauté de la place. Elle avait toujours aimé les églises, elle s'y sentait à son aise. Ici, c'était magnifique. Elle trouvait. Elle sentit l'étreinte de Lary se faire plus insistante dans sa main. Elle en fut heureuse. Étrangement. Puis, se laissant aller à une pulsion en elle, elle éclata d'un grand rire franc, pure et complètement dénué de malice. Elle était heureuse c'était tout. Elle lacha la main de Lary, puis s'avanca au centre de la grande pièce. Elle tournoya quelques instants et gambada à travers les rangées. Puis, elle revint vers Lary, et l'enlaca dans ses bras. Elle le serra puis s'éloigna un peu...

Maintenant, elle était gênée. Cela ne faisait pas beaucoup de temps qu'ils se connaissaient et elle allait déja serrer les gens dans ses bras. Quelle impression elle donnait!

Elle rougit, baissa légèrement la tête et n'osa pas rien dire, rien faire.

"Que va-t-il penser?"

Lary fut surpritde l'attitude de la jeune femme, encore plus quand elle le sera dans ses bras. Quand elle recula il lui adressa un sourire un peu déconcerté. Il avanca pour rejoindre la femme lui redressant le menton avec sa main gauche.

Il n'y a aucune honte à montré ses sentiments.

Lary lui donna un baisé, plutôt paternel, sur la joue en laissant sa main retombé.

Allé j'aime bien mieu ton sourire.

Xan sourit, décidément, même si'il ne voulait pas particulièrement faire le charmeur, ce jeunne homme savait bien séduire. Au moment ou il lui fit le compliment, elle sourit aussi, lui fit un clin d'oeil et lui dit:

C'est joli cette église non?

Puis, elle alla s'asseoir sur les banc, les essayant un à un.

Lary regarda de travers Xanokia quand elle nomma le nom de l'établissement. Il alla la rejoindre vers l'avant ou elle venait de prendre place sur un des banc de bois reaussé d'un coussin de velour rouge.

Une Église?

Lary montra vite fait les allentour pour designé l'établissement sans lache Xanokia des yeux.

C'est comme cela que l'on nomme cette batisse?

Lary avait perdu son sourire pour laissé place à un regard intérogateur qui pouvait ressemblé a celui d'un enfant devant l'inconnu.

Xan lui sourit, juste pour le rassurer un peu et lui répondit:

Eh bien oui, c'est comme cela que l'on nomme ces établissements... Il y en a généralement une dans chaque ville. C'est ici que les tous viennent rendre un culte à leur dieux. Ou seulement pour les prier. Moi, je ne fréquente ces endroits seulement par amour de la beauté et de la sérénité bienveillante qui y règne. J'espère que toi aussi tu l'appréciera!

Elle avait dit ces derniers mots joyeusement, en l'invitant à faire comme elle, c,est à dire laisser libre cours à sa joie.

Lary ocha la tête quelque coup apres les paroles de la femme. Il monta sur le podium en avant pour examiné les armoires et la table. Un fois tout cela fini il avanca sur le bord des marches qui donnait acces à la plate forme. Il resta planté la.

Je préfére nos temples en Atlas... ils sont plus grand et ne comporte pas qu'un seul étage, plutôt 7. Un pour chaque dieux avec une statu d'eu, celon le temples le materiel peut varié mais sa reste dans les teinte de leur éléments. Et il n'y a pas ses chaises dans nos jambes, on peut marché librement sans se soicié de se cogné les genous sur quelque choses, a part la statu au centre si on ne fait pas attention bien sur!

lary adressa un sourire a Xanokia en décandant les marches, pour allé se posté encore une fois non loin d'elle, mais se coup si il resta debout.

Xanokia souria. Elle comprenait que cela pouvait déranger, qu'il y ait des bancs partout. C'est pour cette raison qu'elle lui dit:

Eh bien, par chez nous, un prètre donne la messe. Les habitants y assistent, alors, il leur faut une place pour s'asseoir! Voila tout!

Puis, elle fixa encore quelques instants le plafond et reporta son regard vers Lary, qui n'avait cessé de la fixer.

Maintenant, où allons-nous? Tu as faim? on peut faire une halte et aller à l'auberge, j'y ai une chambre. Je ne connais presque rien a cette ville, peut-être qu'elle t'es plus familière qu'à moi!?

Puis, elle le regarda, de son regard paisible et bienveillant attendant qu'il lui réponde.

Lary lui sourit breffement. Il s'étira un peu et retourna son attention vers l'une des belles fenêtre teindu. On pouvait y voire des montagne audela du dessin d'une dame sur la vitre.

Je ne conait pas très bien l'endroit non plus mais j'aprécirais bien de prendre l'aire de la campagne... ou des montagne du moin,

Ajouta le jeune guerrier en retournant son attention vers Xanokia. Il lui fit signe et se dirigea vers la porte s'arrêtant quand il fu dans le cadre pour observé son amie.

Xan, pour qui l'air frais ne ferait pas de tort, opta aussi pour les montagnes ou la campagne. Elle suivit Lary, qui était à présent dans le cadre de l'immense porte.

Lary prit la main de la jeune femme et l'entraina a sa suite vers l'exterieure. Elle avait l'aire d'aprécié le fait d'être guidé, et Lary ne lui nirait surment pas cette jouie surtout que, elle, contrairement a Shiva ne le frapait pas!